Présentation de la Guinée-Bissau
Auteur(s): France Diplomatie
Type de publication : Article
Date de publication: 26 septembre 2019
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Présentation du pays
Nom officiel : République de Guinée-Bissau
Nature du régime : Régime parlementaire
Chef de l’État : M. José Mario Vaz (depuis le 23 juin 2014)
Données géographiques
Superficie : 36 125 km²
Capitale : Bissau
Villes principales : Bafata, Gabu, Cacheu
Langue (s) officielle (s) : Portugais
Langue (s) courante (s) : créole , français, balante
Monnaie : Franc CFA
Fête nationale : 24 septembre
Données démographiques
Population (FMI, 2019) : 1,77 millions d’habitants (Banque mondiale)
Densité : 64,6 h/km²
Croissance démographique (Banque mondiale, 2017) : 2,5 %
Espérance de vie (Banque mondiale, 2017) : 57,8 ans
Taux d’alphabétisation des adultes (Banque mondiale 2014) : 45,6 %
Religion (s) : Musulmans (50 %), chrétiens (10 %), animistes (40 %)
Indice de développement humain (2018) : 0,455 soit au 177e rang sur 189 pays (PNUD)
Données économiques
PIB (2019) : 1,5 milliard $ (FMI)
PIB par habitant (FMI, 2019) : 865,7 $ (Banque mondiale)
Croissance (FMI, 2019) : 5 % (Banque Mondiale)
Taux d’inflation en fin de période (FMI, 2019) : 2,1 %
Solde budgétaire global, dons compris (FMI, 2019) : – 2,84 % du PIB
Balance commerciale (2016) : – 71 M$ (Banque mondiale)
Principaux clients : Inde, Singapour
Principaux fournisseurs : Portugal, Sénégal, Pays-Bas
Part des principaux secteurs d’activités dans le PIB (Banque mondiale, 2017) :
- agriculture : 49 %
- industrie : 12,5 %
- services : 38,5 %
Politique intérieure
La destitution, le 12 août 2015, du Premier ministre Pereira par le président Vaz est à l’origine de la crise politique actuelle. Les deux hommes s’opposaient depuis plusieurs mois sur la manière de conduire les affaires du pays. Huit gouvernements se sont succédé depuis le déclenchement de la crise.
La CEDEAO a joué un rôle majeur dans le traitement de la crise. Sous son égide, l’Accord de Conakry a été conclu le 14 octobre 2016, prévoyant la nomination d’un Premier ministre consensuel et la formation d’un gouvernement inclusif. Les nominations d’Umaro Sissoko Embalo, en novembre 2016, puis d’Artur Silva le 30 janvier 2018, au poste de Premier ministre n’ont toutefois pas recueilli l’approbation du PAIGC (parti historique et vainqueur des élections législatives de 2014).
Le 4 février 2018, la CEDEAO a édicté des sanctions (interdiction de voyager et gel des avoirs principalement) visant ceux qui entravent la mise en œuvre de l’Accord de Conakry. 19 personnalités (et les membres de leur famille) étaient ciblées. L’Union africaine a décidé d’endosser ces sanctions. Les sanctions à l’encontre des 19 personnalités ont été levées lors du Sommet de Lomé du 31 juillet 2018, mais la CEDEAO a de nouveau menacé de rétablir des sanctions contre toute personne qui enfreindrait le bon déroulement du processus électoral.
A la suite du Sommet de la CEDEAO, réuni à Lomé le 14 avril 2018, le Président José Mario Vaz a nommé un nouveau Premier ministre, M. Aristides Gomes, chargé de préparer les élections législatives, prévues initialement le 18 novembre 2018, mais qui ont finalement eu lieu le 10 mars 2019. Ces élections se sont déroulées dans un climat apaisé. Le sommet de la CEDEAO, réuni à Abuja le 29 juin 2019, a permis une nouvelle nomination d’Aristides Gomes au poste de Premier ministre ainsi que la fixation de l’élection présidentielle au 24 novembre 2018.
Situation économique
L’économie de la Guinée-Bissau se structure essentiellement autour de l’agriculture (49 % du PIB), qui occupe entre 75 et 80 % de la population active. La culture de la noix de cajou, peu mise en valeur, est la principale source d’exportation et de revenus du pays (73 % des exportations en valeur en 2017, 84 milliards de FCFA de recettes fiscales en 2017 soit 48 % des recettes de l’État).
L’activité économique reste fortement pénalisée par l’état très dégradé des infrastructures, notamment dans le secteur énergétique. Le réseau public n’assure qu’un vingtième des besoins nationaux en électricité, avec une concentration sur Bissao, la capitale. Le réseau routier est peu développé et ne permet pas le désenclavement de certaines régions présentant un potentiel agricole.
Le pays connait depuis 2015 une croissance économique soutenue, alors que le PIB réel a quasiment stagné en moyenne entre 2000 et 2014. Grâce au soutien continu de la dépense publique, le paiement d’arriérés, et l’augmentation en valeur des exportations de noix de cajou, la croissance a été de 4,8 % en 2015, de 5,8 % en 2016 et 5 % en 2017 (pour une croissance démographique estimée à 2,5 % par an). Le taux d’inflation moyen, qui avait atteint 5,1 % en 2011, a décéléré pour atteindre 1,5 % en 2016 et 2,8 % en 2017.
Politique étrangère
Indépendante depuis le 24 septembre 1973, la Guinée-Bissau est longtemps restée isolée en raison de son alignement sur l’URSS. Elle fut néanmoins membre fondateur de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en 1975 et de l’Union africaine en 2000, et a adhéré au traité UEMOA en 1997. La CEDEAO a accru son rôle à la faveur de la transition de 2012-2014, avec la mise en place de l’ECOMIB. La Guinée-Bissau est également membre de la Communauté des États sahélo-sahariens (Cen-Sad), de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et de la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP).
La politique étrangère de Bissao est avant tout orientée vers la recherche de partenariats extérieurs (Chine, Brésil). L’Angola est rapidement devenu un partenaire de premier rang par l’investissement de capitaux et le lancement d’un programme de coopération technico-militaire important, ayant subi un coup d’arrêt avec le coup d’État de 2012. La Guinée-Bissau entretient des relations étroites avec le Sénégal, qui ne sont pas toujours exemptes de tensions, notamment sur le dossier de la Casamance.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a créé en 1999 un bureau d’appui pour la consolidation de la paix, devenu, le 1er janvier 2010, Bureau intégré des Nations unies pour la consolidation de la paix en Guinée-Bissau ou BINUGBIS, avec trois priorités : la mise en œuvre de la réforme du secteur de la sécurité, la lutte contre l’impunité et contre le trafic de drogue. Il assure également la coordination de la communauté internationale dans sa réponse à la crise politique que traverse le pays depuis août 2015.
Guinea-Bissau country profile
Author(s): BBC
Type of publication : Article
Date of publication: 19 February 2018
West Africa’s Guinea-Bissau was part of the Portuguese Empire for centuries. Today 14% of the population speaks Portuguese. Once hailed as a potential model for African development, the country is now one of the poorest countries in the world. The vital cashew nut crop provides a modest living for most of Guinea-Bissau’s farmers, and is the main source of foreign exchange. But today the nation has a massive foreign debt and an economy that relies heavily on foreign aid. It has become transshipment point for Latin American drugs. At the end of the 1990s the country experienced a conflict which drew in Guinea, Nigeria, Senegal, and France and ended with the president going into exile.
The Republic of Guinea-Bissau
Capital: Bissau
Population: 1.6 million
Area: 36,125 sq km (13,948 sq miles)
Major: languages Portuguese, Crioulo – a form of Portuguese, African languages
Major religions: Indigenous beliefs, Islam, Christianity
Life expectancy: 47 years (men), 50 years (women)
Currency : CFA (Communaute Financiere Africaine) franc
Leader
President: Jose Mario Vaz
A former finance minister, Jose Mario Vaz won the presidential election run-off of May 2014 by a big margin. He is the first elected leader since the army mutinied in 2012 and plunged the country – already plagued by corruption and cocaine trafficking – into chaos. Mr Vaz’s election was meant to draw a line under those events, but Guinea-Bissau has a record of military coups, and no elected leader has served a full term since independence 40 years ago. Stability continued to remain an elusive goal under the new president. A year after coming to power, Mr Vaz sacked his prime minister and party colleague, Domingos Simoes Pereira, after falling out with him. During the ensuing political crisis, there were four changes of prime minister in little over a year, amid a power struggle between Mr Vaz and his party, led by Mr Simoes Pereira.
Media
The constitution provides for press freedom and there is some media diversity, says US NGO Freedom House. But it says journalists face harassment. Private radio stations operate alongside the state broadcaster. A government newspaper publishes alongside non-state titles.
Guinea-Bissau profile – Timeline
Author(s): BBC
Type of publication : Article
Date of publication: 19 February 2018
A chronology of key events:
Pre-15th century – The area of what is now Guinea-Bissau comes under the influence of the Mali Empire and becomes a tributary kingdom known as Gabu.
1446-47 – First Portuguese arrive; subsequently administered as part of the Portuguese Cape Verde Islands, the Guinea area becomes important in the slave-trade.
1879 – Guinea-Bissau becomes a separate colony. Portuguese control of the interior is slow and sometimes violent, and not effectively achieved until 1915.
War of independence
1951 – Guinea-Bissau declared a province of Portugal.
1956 – Amilcar Cabral establishes the African Party for the Independence of Guinea and Cape Verde (PAIGC).
1963-74 – PAIGC launches war of independence.
1973 – Amilcar Cabral assassinated. PAIGC unilaterally declares Guinea-Bissau independent of Portugal and gives it its present name.
1974 – Portugal grants Guinea-Bissau independence with Luis Cabral, Amilcar Cabral’s brother, as president.
Military intervention
1980 – Luis Cabral ousted in military coup led by Joao Bernardo Vieira; plans for unification with Cape Verde dropped.
1990 – Parliament revokes the PAIGC’s status as the sole legitimate party.
1994 – Vieira chosen as president in Guinea-Bissau’s first free election.
1998 – Army mutinies after Vieira sacks his army commander, General Ansumane Mane, whom he accused of allowing weapons to be smuggled to rebels in Senegal.
1999 May – Soldiers led by General Ansumane Mane topple Vieira.
Military junta installs Malam Bacai Sanha, the former speaker of parliament, as interim president.
Domestic tensions
2000 January – Kumba Yala elected president.
2000 November – General Mane killed, allegedly after trying to mount a coup.
2001 January – Guinea-Bissau Resistance (RGB) party pulls out of ruling coalition saying it wasn’t consulted about a cabinet reshuffle.
2001 May – IMF, World Bank suspend aid over millions missing from development funds. Towards year’s end an IMF team praises improvements in financial controls.
2001 November – Foreign minister Antonieta Rosa Gomes dismissed after criticising President Yala. Increasing concern over the president’s erratic behaviour.
Yala deposed
2001 December – Government says it has thwarted a coup attempt by army officers. Opposition casts doubt on allegations. Prime Minister Faustino Imbali is sacked for “failing to meet expectations”.
2002 November – President Yala says he plans to dissolve parliament and call early elections. The move comes amid a long-running row with his prime minister.
2003 September – Military coup ousts President Yala. Civilian administration headed by interim President Henrique Rosa and interim Prime Minister Antonio Artur Rosa is sworn in after military and political parties agree to hold parliamentary and presidential elections.
2004 March – The former ruling PAIGC wins general election.
2004 October – Mutinous soldiers kill the head of the armed forces in pursuit of demands which include payment of outstanding wages.
Vieira returns
2005 April – Joao Bernardo Vieira, former president toppled in 1999 rebellion, returns from exile in Portugal.
2005 May – Former President Kumba Yala, who was deposed in 2003, declares that he is still the rightful head of state. He stages a brief occupation of the presidency building.
2005 July – Former military ruler Joao Bernardo Vieira wins a run-off vote in presidential elections.
2006 March-April – Guinea-Bissau soldiers battle Senegalese rebels along the southern border.
2006 October – Guinea-Bissau appeals for international help to stop people-traffickers using its remote coastline to smuggle migrants, including Asians, to Europe.
2007 March-April – Prime Minister Aristides Gomes resigns after his government loses a no-confidence vote. Martinho Ndafa Kabi is appointed as consensus prime minister.
2007 June – Donors have one last opportunity to save Guinea-Bissau from chaos and to combat Latin American drug cartels, the UN and International Monetary Fund warn.
2007 December – Parliament passes law guaranteeing amnesty for any violence committed during the years of political unrest between 1980 and 2004.
2008 August – President Vieira dissolves parliament.
2008 November – President Vieira survives a gun attack on his home by mutinous soldiers, in what appears to be a failed coup.
Vieira assassinated
2009 March – President Joao Bernardo Vieira is shot dead by renegade soldiers, hours after a bomb attack that killed the army’s chief of staff, General Tagme Na Waie.
2009 July – Malam Bacai Sanha wins presidential election in a run-off.
2010 April – Mutinous soldiers briefly detain Prime Minister Carlos Gomes Junior and replace armed forces chief.
US names two top military officials as international drugs traffickers and freezes their US assets.
2010 June – Leader of April’s mutiny, General Antonio Indjai, is made army chief.
2010 August – EU announces it is ending mission to reform Guinea Bissau’s security forces, saying lack of respect for rule of law is making this an impossible task.
2010 October – US expresses concern over Guinea Bissau government’s decision to reinstate alleged drugs kingpin Jose Americo Bubo Na Tchuto as head of navy. Mr Na Tchuto is a close ally of army chief General Antonio Indjai.
2010 December – Former army chief Jose Zamora Induta, who was arrested during April mutiny, is released from prison but days later placed under house arrest.
2011 February – EU suspends part of its aid to Guinea-Bissau because of concerns over governance and the rule of law.
2011 July-August – Thousands take to the streets to demand the resignation of Prime Minister Carlos Gomes Junior for his failure to curb rising food prices.
Instability
2011 December – Prime Minister Carlos Gomes Junior says the authorities have foiled a coup attempt against President Malam Bacai Sanha, mounted while the he was receiving medical treatment. Navy chief Jose Americo Bubo Na Tchuto is accused of masterminding the coup and arrested.
2012 January – President Malam Bacai Sanha dies in hospital in Paris. National Assembly head Raimundo Pereira becomes interim president.
2012 April-May – Soldiers topple the government. Interim President Pereira and leading presidential contender and ex-PM Carlos Gomes Junior, are arrested. A transitional government led by Manuel Serifo Nhamadjo is formed. UN imposes travel bans on the coup leaders and key supporters.
2012 July – The UN Security Council expresses concern that drug trafficking has increased since the coup, and demands a return to constitutional rule.
2012 October – Seven killed in raid on an army barracks, which the transitional government describes as a failed coup attempt.
2013 April – US operatives arrest ex-navy chief Jose Americo Bubo Na Tchuto and charge him with drug trafficking.
2013 December – Row with Portugal over refugees from Syria, who allegedly arrived by plane from Guinea-Bissau with false documents. Guinea-Bissau’s foreign minister quits, Portuguese airline TAP suspends air link.
2014 May – Presidential election run-off is won by Jose Mario Vaz.
2014 September – President Jose Mario Vaz sacks the powerful armed forces chief, Antonio Indjai, whom the US accuses of plotting to traffic cocaine and sell weapons to Colombian rebels.
2015 May – International donors pledge more than $1.1bn to help Guinea-Bissau’s economy revive after years of instability.
2015 August – President Jose Mario Vaz sparks a political crisis by sacking Prime Minister Domingos Simoes Pereira in response to a series of disputes between the two men.
2016 November – Umaro Sissoco Embalo becomes the fifth prime minister in little over a year amid a power struggle between President Vaz and opponents in the ruling PAIGC.
2017 December – West African leaders have threatened “collective and individual sanctions” on politicians in Guinea-Bissau unless it resolves its ongoing political crisis.
Géographie de la Guinée-Bissau
Auteur(s): GUINEE-BISSAU.net
Type de publication : Article
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Description générale
La Guinée-Bissau est entourée au nord par le Sénégal, au sud et à l’est par la Guinée, et à l’ouest par l’Océan Atlantique. C’est un petit pays qui ne se trouve qu’à la 133e position sur la liste des pays suivant leur superficie. Celle-ci est de 36 120 km², dont 28 000 km² de terre et 8 120 km² de mer.
Le paysage est légèrement ondulé, mais en aucun point il ne dépasse les 200 mètres d’altitude. Le littoral se présente comme particulièrement déchiqueté. De longs estuaires fluviaux et bras de mer pénètrent loin à l’intérieur des terres.
Climat
Le climat est tropical, chaud et humide. Comme dans la Guinée voisine, les précipitations sont presque partout abondantes. La saison des pluies se déroule de juin à novembre avec vent du sud-ouest ; la saison sèche va de décembre à mai et s’accompagne de l’harmattan, ou vent sec venu du nord-est.
Les régions naturelles
On peut diviser le pays en trois régions principales :
- La zone côtière. Elle est très fragmentée et souvent envahie par la mangrove.
- Les plaines et larges vallées. Périodiquement inondées, elles sont favorables à la culture du riz.
- Les légers reliefs (collines). Cette zone présente de très bonnes conditions pour la culture de l’anacarde (noix de cajou) et de l’arachide (huile et cacahuètes).
La savane domine à l’est.
Exploitation du sol
Terres cultivables: 11 %
Cultures permanentes: 1 %
Pâturages permanents: 38 %
Forêts: 38 %
Autres: 12 %
Les terres irriguées ne comportaient en 2006 que 17 km2.
Hydrographie
Le pays n’a que des fleuves relativement petits, mais ces derniers, souvent abondants, se caractérisent par d’importants estuaires. Ceux-ci pénètrent profondément à l’intérieur des terres, et s’élargissent fortement sous l’effet de la marée.
Les principaux cours d’eau du pays sont:
- Le Rio Geba
- Le Rio Mansoa
- Le Rio Cacheu
- Le Rio Corubal
- Le Rio Sao Martinho
Bilan hydrique du pays
La Guinée-Bissau est un des pays bien arrosés d’Afrique, malgré une assez longue saison sèche. Les précipitations alimentent des cours d’eau souvent abondants.
D’après Aquastat, la hauteur d’eau annuelle moyenne des précipitations est de 1 577 millimètres, soit pour une superficie de 36 120 kilomètres carrés, un volume de précipitations annuelles de 56,96 kilomètres cubes, arrondis à 57 km³ (contre par exemple 78,597 km³ au Portugal, pays 2,6 fois plus étendu – ou encore 25,84 km³ en Belgique, pays un peu moins étendu).
La quantité d’eau disponible (qui comprend l’ensemble des ressources créées en interne, plus les apports extérieurs éventuels) est donc de 31 km³ par an, soit pour une population estimée à 1 700 000 habitants en 2008, pas moins de 18 000 m³ par habitant et par an.
Environnement
Catastrophes naturelles : harmattan, feux de broussailles.
Problèmes environnementaux : déforestation, érosion, pâturage intensif, surpêche.
Ressources naturelles
- Poisson, bois, phosphates, bauxite, pétrole (non exploité).
- La noix de cajou est la principale exportation de la Guinée-Bissau.
Source photo illustration : plataformamedia.com